Dimanche 24 septembre 2006
En avant les histoires (copyright Playmobile) ! Il est 9H du mat , je viens de quitter Reims la fleur au fusil malgré un ciel grisatre. J'accompagne Hugo qui stresse à mort.
En guise de réconfort, la panne arrive dés le 80è kilométre, me voila donc en train de pousser la Laverda sur le bord de la quatre voie en me disant que Toulon, c'est loin ! On se retrouve quand même pour la premiére épreuve chronométrée : 8 tours sur le petit circuit humide et glissant de Carole (j'en bave encore). Kruel me briffe sur la tactique à adopter et se barre pour ne pas voir les dégats (prémonition ?), quand à Hugo, il est plus blanc que blanc, limite transparent ! Je guette le baissé du drapeau depuis le fond de la grille et malgré les consignes: gaaazzzzzzzzz ! J'pourris tout ce que j'peux et fait le forcing au premier freinage, mon inexpérience de la piste et trois tours plus loin, je suis déjà essouflé. Hugo, lui, voit la vie en bleu et trouve vraiment qu'on est trop nombreux sur le circuit (en vrai, il s'est déjà fait bouffer deux tours). Quand Michel Maire entre dans ma ligne de mire, j'écope involontairement d'une seconde de déconcentration, et là , c'est leuuuuuuu drame : ma moto part dans le bac à gravier pendant que je roule sur le bitume... j'me relève fissa espérant que personne ne m'ait vu, c'est vraiment ballot. Heureusement, on a rien, juste de quoi justifier la présence du marteau dans la caisse de Totozr pour taper la ou c'est tordu. Je repars alors de Carole, la clope au bec aprés cette scéance de couchage, vers la spéciale de Jonchéry.
Avec bonheur, j'arrive à mettre du gaz sur cette route inconnue aux courbes délicates mais bosselées, j'avais pas roulé comme ça depuis, heuuuuu, depuis ma derniére gamelle (devenue avant dernière) au rallye du Morvan en 2005. putain que ça fait du bien, d'autant plus que personne ne m'avait briffé avant le départ. L'adrénaline diffusée par la glande médullosurénale faisant le reste, j'arrive alors dans le paddock à Reims, la queue frétillante , jusqu'au moment ou... je croise les regards du team pour prendre conscience de la boulette. on me fait bien comprendre la mise en péril de tout l'investissement personnel et collectif dés le premier jour. En même temps, je ne vois toujours pas pourquoi il faudrait faire preuve d'une certaine retenue comme les copains. Je suis quand même la pour prendre du plaisir que j'associe davantage à l'arsouille qu'au résultat, bref, j'acquiesse d'un léger mouvement de tête quand le sermont me tombe dessus, je perturbe y parait ! Et il faut que j'arréte de me prendre pour Serge Nuques, car lui aussi tombe !!!
Lundi 25 septembre
Le lendemain, le routier devient vraiment sympa pour rejoindre la spéciale de la journée : Cerisier ! Ca va alors trés vite, kantoutakou, Kruel fait son apparition derrière l'hemisphère gauche de mon cerveau, il plisse la matière grise comme celle d'un rideau rouge de théatre, prend place dans mon cortex et j'entend alors sa petite voix virile : " fais pas le con". M'en voila tout perturbé, de toute façon j'aime pas quand ça va trop vite, car depuis mon stage, je le sais bien que c'est la vitesse qui fait mal !!! La joie de l'arsouille est quand même la, de plus, elle est validée par la marée chaussée, c'est le top ! Vient ensuite l'épreuve du "roule comme un mongol à 60 km/h ". on sait quand ça commence mais presque pas quand ça s'arréte. Ma concentration et mon professionnalisme me permettent d'obtenir un résultat honorable mais que certain trouveront chanceux, n'importe quoi !! On arrive alors à Magny Cour et je commence à prendre conscience du rythme qui va nous être infligé toute la semaine. Ce soir , c'est Saturday Night Fever sur le circuit et demain la grande migration ! heureusement, j'ai poussé ma préparation physique et mentale comme un pro ! Je m'élance donc à partir de la deuxiéme ligne pour cette ronde de nuit, je crois qu'Hugo est dans le fond, mais c'est pas grave, un commissaire le poursuit dejà avec un drapeau bleu depuis la prés grille. J'ai bien pris les conseils du major mais une fois encore, quand le feu passe au vert, j'oublie tout ! Je snif toute la ligne sur laquelle j'étais, j'entame le premier gauche en quatrième position puis la grosse parabolique qui conditionne la ligne droite. Ma moto est alors une vrai danseuse avec des amortos qui se prennent pour Elvis,les sportives me déposent littéralement à la sortie. J'me lance alors dans un gros pogo d'la mort car l'expérience de la piste fait kruellement défaut. j'ai quand même put admirer, dans la foulée, les jolies pas de danse de Véro. j'aurais voulut rester d'avantage dans son sillage pour profiter de la leçon mais elle roulait vraiment trop vite pour moi, chapeau la miss ! (c'est pas comme d'autres qui m'ont doublé en coupant les chicanes). je commence à perdre la notion du temps mais il est vraiment tard, il faut dormir !
Mardi 26 septembre
avant de partir sur le long chemin, je dit au revoir à mon amour d'Edith, abdiquant devant la tâche qui reste à accomplir, elle rentre en Mayenne sans oublier de laisser ses consignes au commandant. Je lui confesse les deux trois truc à régler d'ici la fin de la semaine et qu'ensuite je rentrerais à la maison tel un chevalier victorieux et accessoirement en manque d'affection que l'équipe Rhino , malgré toutes ses attentions, ne compensera pas ! J'attaque la suite direct avec les deux petites spéciales sur la piste de kart et de l'écolage. les consignes de kruel ,les pneus froids et la crotte aux yeux me font limiter la prise de risque (en vrai, c'est: awachier, gazzzz) et le dicton du jour sera " failli n'est pas tombé", à méditer !
Trois heures plus tard, tu fais déjà moins le malin quand il en reste le triple à faire avant de rejoindre Castres. mais quelle aventure ! Pour préserver mes yeux devant tant de beauté (et pour faire tout comme on m'a dit), je les economise en alternant leur ouverture. De temps en temps, j'ouvre les deux pour essorer la poignée de gaz tellement les routes fréquentées sont une invitation permanente au penchage trajecté ! La vigilance est quand même de mise avec le fléchage, correct mais qui peut s'avérer malicieux. du coup, j'ai investi dans une sacoche reservoir,les feuilles du road bouc, imprimées format A4, attendent patiemment que je les libére au fur et à mesure du périple. je ne suis pas peu fier de mon systéme (label eco+) qui ne connaitra aucune défaillance technique notoire. Par contre, mon rythme ressemble à mes courbes de température. A chaque feuille, c'est la pause clope , ça perturbe les camarades de jeu qui préférent toujours prendre un maximun d'avance sur leur temps de pointage. dés lors, je roule souvent tout seul!!! il a quand même fallu que je subisse une attaque de scooter dans le Cantal, mais le mal poli (le numero 159) s'est bien empressé de déguerpir à la vue de mon regard pas tibulaire mais presque. Le scoutter est, me semble-t-il, l'engin idéal qui permet au bourrin de base de vivre une aventure formidable, mais je doute parfois qu'il soit suffisament équipé cérébralement pour s'en rendre compte... c'est du gachi ! Cette journée fut délicieusement dure, pour la premiere fois, j'arrive au paddock pour dire à Kruel : "j'ai fais tout comme tu m'as dit". Ces mots l'ont rassuré et j'ai lu sur son visage un message d'espoir sans pour autant apaisser totalement son stress. En tout cas, l'assistance est tip top : 100 % amateur et pourtant trés pro, tout comme les Baladins d'ailleur, mais c'est pas pareil, faut voir les clients qu'ils ont en charge (m'enfin, ils en ont de moins en moins).
Mercredi 27 septembre
Il fait beau... le boss fait le déplacement avec Totozr pour nous surveiller sur le circuit d'Alby , je prend la consigne : " gaffe les gars ! "sur le ton de " cours Forest " pour bien me motiver ! A ma grande surprise, j'arsouille un moment avec la Triumph Rocket III, elle bondit littéralement à chaque accéleration, sûr que son pilote doit s'amuser avec. Le reste de la séance est joyeuse puisque sans chute, les amortos du fazer sont vraiment à l'agonie. heureusement, la générosité entre rallymen fait toujours merveille, je profite ainsi des conseils de Nanuk (il n'est pas du Solidarteam pour rien) sur certaines trajectoires. Je repart alors du circuit avec hugo tout sourire, je crois qu'il commence aussi à se détendre. en avance sur le timing, on prend même la peine de s'arréter dans un troquet boire un café, essuyer les visières et purger le boyaux pour s'alléger avant la spéciale de Villecomptal (désolé pour le style, mais j'aime aussi me foutre les doigts dans l'nez, roter à table et péter au lit).c'est la seule que je connaisse et à vouloir trop bien faire, je suis déçu de ma prestation tant l'impression de perdre du temps fut grande. Pourtant, se sera mon meilleur classement comme quoi plaisir et résultat ne vont pas forcément de paire. J'accompagne alors Hugo pour rentrer sur Castre,mais le malheureux se voit déjà à toulon, le Feldmarshall avait prévenue: "faut rester concentré" !! la fatigue aidant, Hugo s'en met une juste devant mes roues (non, je ne l'ai pas perturbé), mon premier reflexe fut de rire. la chute est bénigne mais Hugo fut le temps d'un instant un orang-outan ne controlant plus ses longs menbres. Le roulé boulé fut magnifique ! Bon aprés faut être sérieux, j'appelle Kruel pour dénoncer la bévue et blablabla, ça cause, ça s'organise, et je me fout à la bourre. les cents kilometres qu'il me restent jusqu'au prochain pointage seront faits à l'attaque pour être à l'heure ! Le temps d'une pause, on repart pour la spéciale de nuit de Fiallesuch. La sortie du centre ville de Castre à Toufik est laborieuse, je croise alors Eric Bulot pour me remettre sur le droit chemin (c'est pas la premiére fois que les gars de l'ASMACO se comporte en véritable pére pour moi, alors merci). dans la foulée, j'emmanche sec pour limiter la casse du retard ,ça m'a surtout permis de bien digérer le menu motorhineske (régime etudié pour bien gazer). des militaires ,en exercice par groupe de trois quatre, croisés en raze campagne m'ont également redonné le moral, chacun choisit sa galére, n'est il pas ? Sinon, j'aime la nuit, quand tu roules vite, tes impressions sont decuplées, l'éclairage additionnel que j'affute, c'est peu dire, depuis le début de l'épreuve marche bien et donne vie au relief, mais qu'est ce que ça fatigue !
Jeudi 28 septembre
A chaque jour suffit sa peine,la boite à souvenir se rempli encore, mais il faut rester concentré pour pas faire comme hugo.je trace alors un rapide bilan de la situation : mes points forts, le moteur, les pneus et une grosse paire de couilles,alors que les points faibles sont les suspensions,le cadre et l'anus. Hugo, c'est tout pareil mais en inversé ! Je mets également à contribution mon endurance pour attaquer la deuxiéme étape marathon de la semaine et la spéciale du jour : "Cols de Murs" ! Les conditions (bitume, méteo, slip,...) sont idéales et Toulon n'est plus trés loin. cette spéciale sinueuse taillée dans le roc, à coup de pif et de paf, me laisse encore tout nigaud ! n'ayant pas fait de reco,je n'ai jamais réussi à faire le lien entre le nom des spéciales, les vidéos et les recommandations de Kick, je constatais la pertinence des remarques uniquement aprés. Celle de Mur en sera l'exemple type avec une épingle qui, ô surprise, se referme encore ! Je trouve quand même des ressources angulaires pour passer là ou ça devient chaud, certainement l'un de mes passages les plus marquant. L'avis de Kick me reviendra ensuite : " y'a une épingle qui se referme en deux temps, y'en a qui vont tomber"... si j'avais su ça avant ... une fois faite, départ sur Toulon, j'accompagne Jean Pierre Lavignasse (N°284) qui commence à me parler de Kruel: "ouais, j'ai roulé avec lui l'an dernier, il roule bien Kruel", et Kruel par ci, et Kruel par là... est ce que le chef irait jusqu'à soudoyer des concurrents pour me foutre la pression ? Je le lâche honteusement dans la monté du Col de Gemeno, un bonheur total car on commence à rouler comme des mongols sans s'en rendre compte, tous les bouts droits nous faisant littéralement chier, j'interpelle quand même mon suiveur : " Tu ne dis rien à Kruel sur comment je roule en vrai, c'est mon dernier mot Jean-Pierre". J'arrive enfin à Toulon en ayant tout fait comme on m'a dit, enfin presque ! Ce soir c'est la bouffe avec les Bitumeurs de le Sud, j'vais enfin rencontrer les joyeux lurons qui font rire ma bouche dans l'autre monde des Bitumeurs du Sud ! La soirée est sympa mais la fatigue est là, la grosse prestation humoristique de la soirée viendra pour moi du lieu "le Café Racer" ! Faut que je dorme.
Vendredi 29 septembre
Le lendemain, l'arsouille quotidienne nous emméne vers les spéciales de Valensole et Allemagne en Provence. 748R s'est pris d'affection pour moi et décide de me suivre avec son 500 CB, il tourne autour de moi et me fait tout plein de signe, je commence à décoder: "attention radar", "attention jumelle", "la voie est libre", "attention, ça va tourner", bref, un vrai coatch de la route. Ceci dit, j'ai toute la semaine essaiLLé de garder une certaine indépendance vis à vis des recommandations de Kruel (ce dernier ne recule devant rien pour me faire surveiller), et sur ce coup la, c'est JP qui me perturbe , en plus , il aurait plutot tendance à rouler vite la ou la route le permet, et lentement la ou on peut pas! Par esprit de contradiction, j'dépasse rarement le 110 mais je le lâche dans le sinueux. L'animal aura quand même l'effronterie de me dire que je coupe les virages. je ne vois pas comment il peut dire ça avec le peu de temps qu'il a passé derriére moi ? Les spéciales se passent bien, le mélange de fatigue et de joie procure des sensations inconnue jusqu'à là ! Pendant les arsouilles, une forme d'automatisme se met en place, les virages s'enchainent à vive allure et la notion de risque s'éclipse naturellement. Par contre, une fois dans le paddock, les nerfs te lâchent un peu. Heureusement, y'a Nanjing, la Bouillote, Sonine, Riva et Stef qui sont la et s'activent au sein du team pour soutenir une activité champêtre, car l'équipe commence à avoir des signes extérieurs de fatigue (bégaiement, regard flou...). notament Totozr qui subit de temps à autre des coupures malgrés les soins prodigués. On s'efforçe pourtant de faire en sorte que ses nuits soient douces. Hugo, lui, tient le choc à la surprise générale, car sa moto moderne à quelque chose de, comment dire... classique ?
Samedi 30 septembre
Le lendemain, départ pour les Gorges du Verdon, mes yeux une fois encore en prennent plein la rétine, le programme commence à s'alléger mais la concentration necessaire pour terminer l'épreuve commence sérieusement à taper dans nos reserves énergetiques. La base chrono est une nouvelle fois une réussite pour ma part et j'arrive alors sur la spéciale du Col de Bleine. je croise alors une ambulance, il y a eu du grabuge la haut, un jeune s'est sorti percutant, par coussin de protection interposé, un commissaire et une spectatrice ! Le risque devient palpable partout et pour tous (il était temps que je m'en rende compte). Une heure et demie d'attente font refroidir concurrents et pneus, pour la spéciale, l'info circule sur le premier droit trés fermé, je décide donc de partir taquet dans le premier gauche pour enquiller comme d'hab. Gaaaaaaz en grand et ... chute du pneu arriére puis du reste ! La fameuse glande "metdeleaudanslericard" venant juste de fournir une dose 50 mètres avant, je me reléve aussitot, et arrache la moto des cousins gonflables pour repartir, j'entend au loin le commissaire qui me demande si ça va ? A peine arrive-t-il à ma hauteur pour me toucher l'épaule que le moteur s'ébrout enfin et je repart gaaaaaaz en grand ! La moto ratatouille et j'ai mal dans les hanches, j'arrive quand même sur l'épingle suivante avec suffisament de vitesse pour voir que la poignée de frein est encore la. Restant raide comme une trique, j'arrive au point stop pleine balle ! Le gars me demande si je suis tombé, je lui dit oui mais qu'il ne faut pas le dire à mon chef, rapport au ménagement de son stress. Sur ceux je repars pour Toulon en me disant que demain il n'y aura plus que cent bornes à faire, la fleur du fusil est un peu fanée mais elle est encore là ! J'arrive donc dans le paddock pour faire mon rapport habituel, " j'ai fait tout comme tu m'as dit" mais ce traitre d'Hugo qui avait eu vent de ma chute a déjà prévenu le team, m'en fout, j'ai quand même été plus rapide que lui ! C'est pas facile de faire le con tous les jours et d'afficher un moral d'acier. La spéciale du Mont Faron est alors annulée, c'est presqu'un soulagement car, honnétement, j'commence à avoir du mal à suivre. Trop de consignes tuent les consignes, je ne pense plus qu'à tomber encore, mais dans un lit douillé cette fois-ci.
Dimanche 1 octobre
La vie est belle, mes douleurs jambaire post bitaire passent au second plan et j'commence déjà à vouloir profiter de cette derniére journée. L'acceuil de la ville de Puget aura le mérite d'être le plus chaleureux de tous, scéne avec groupe de rock, sandwich offert, je prend le temps de sympatiser avec une ancienne du village. Le contact avec la population locale, c'est aussi le gros plus des épreuves sur routes. Bref, j'arrive vite à la spéciale du jour, le revétement est nickel et se décompose en trois zones, le premier tiers sec, le second avec plaques d'humidité à l'ombre des talus et le troisiéme mouillé. Du coup, j'ai encore failli m'en mettre une, jusqu'au bout j'ai assimilé le plaisir avec la prise de risque, la victoire est pour moi totale, en gros : la perf est modeste voire douloureuse mais heureuse. Le retour à Toulon avec 20 km d'autoroute entame déjà le dur retour à la realité des choses, on se congratule au dernier ch car nous venons de vivre une bien belle aventure ! Le retour au paddock est euphorique, alors que certains s'affairent déjà à plier les gaules (chose rendu peu aisée tant elles furent tendues toute la semaine), d'autres s'apprétent à fêter l'événement ! On participe à la remise des coupes sans grande attention, profitant de l'occasion pour rencontrer une derniére fois les passionés cotoyés durant ces dix jours d'arsouille. Ces passionés, se sont les pilotes aux grain, bien sûr, mais aussi tous les bénévoles qui font que cette course existe. Je tiens d'ailleur à féliciter le traceur, qu'il n'hésite pas à nous contacter pour recevoir la coupe de l'arsouille d'or ! Enfin je tiens à remercier tout le team, aussi bien les bases arriéres, Bella, Klink, Kurt... ainsi que les bases avancées, la nature de mes remerciements est telle que je souhaite vous rencontrez tous à nouveau lors d'une soirée rivaïllevol DDT pour les faire de vive voix ! Mon petit corps ayant fini par me lâcher avant la fin de la soirée picarlousienne, je pense plus qu'à remettre ça !
Le Nain Dejardin
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