Voici en quelques lignes, trop pour certain et pas assez pour d’autres, l’aventure d’un rallye pas comme les autres :
mercredi 4 mai : 17h00 :le départ La seule image de moto que nous puissions vous montrer, le reste des images a été refusé par le CSA la journée de boulot se termine et c’est temps mieux car ça commencé à devenir dur pour mes collègues ! bref le fourgon m’attend sur le parking de la boite avec mes deux copains Eric alias kick et Christophe dit toto le sans cerveau . trop trop content de les voir .
17h15 :l’ambiance on rigole encore ! je trouve ça suspect vu que d’hab. on a déjà trouvé le moyen de s’en mettre une ! laissons venir ! le fourgon quand à lui fait un drôle de bruit dedans son cardan quand soudain dans le poste on entend la voie de Charlie « bonjours les filles » à nous de reprendre en cœur « bonjours Charliiiie », « vous aurez comme mission ce week-end de punir les pilotes moto sarthois, que ceci reste confidentiel et bien sur si vous vous faites prendre, vous vous démerdez sans nous » «merci espèce de grozenculé de Charlie »
21h00 :le premier repas après l’insistance de toto pour manger dans un de ses repère de routier et que point trop il ne faut changer ses habitudes, nous voilà donc à table au cheval blanc prés d’un bled qui s’appelle Sancoins. La serveuse a les cheveux courts et des couilles , sinon la voie c’est vraiment celle d’une serveuse ,étrange !
22H00 :le voyage c’est repartie dans la franche camaraderie, un bémol cependant et surtout une grosse interrogation, les copains deviennent ils des tafioles car les voilà maintenant en train de parler de course à pied et de basket ? j’analyse rapidement les possibilitées d’installer un rideau pour faire cabine à part pour le prochain rallye si ça continu …
jeudi 5 mai 01h30 :l’arrivée arrivé dans le petit dortoir de douze lits réservé à l’attention des gars de l’ASMACO. Ça sent déjà un peu fort : sont présent Tony , Benoît, la canne, Nicolas et Nick ; on est discret mais c’est plus fort que nous faut qu’on cause, qu’on péte… bref, un petit « jamais je n’achèterais une fiat » fini par faire éclaté de rire l’assemblé sômme toute fatiguée. Je m’endort en ricanant puis en ronflant.
08h30 :le réveil réveillé par la crotte, il faut que je m’éjecte du lit, la couille sortie du slip en profite pour observer son nouvel environnement d’évolution, houp , je la ramasse d’un geste qui fait preuve d’une grande dextérité malgré le peu de vivacité qui me caractérise à cette heures si matinale. Un café, une petite ablation buccale et c’est partie pour une journée qui s’annonce longue.
10h00 :la gestion du sommeil après avoir gérer un petit coup d’excitation, un coup de barre me renvoie au lit pour somnoler, il faut dire que je sort d’une grosse crêve , le glaviot étant encore un peu jaune et la morve séchante, mieux vaut me reposer quand j’en ai l’occas et vu que quand je dort, y ‘a plus personne pour foutre le bordel …
12h00 :le bidon deuxième réveil de la journée, la bistouquette est perturbée, elle ne sait pas si il faut se tendre ou se détendre ! un petit repas léger, déchargement du fourgon et premier truc qui cloche.Un seul bidon de 20 litres pour faire le ravitaillement de trois moto. ça va être chiant ; pendant le rallye la Sarthe, c’est facile, il y a carrément un CH dans une station mais là c’est pas pareil hum hum hum …
14h17 :contact vroumm varoumm broummm, pas de surprise, c’est une japonaise, ça démarre toujours. C’est sur ça manque un peu de gueule surtout une fazer, y a rien de plus banal, du coup je me rattrape en mettant des autocollants « bébé à bord » ou encore « France bleu Mayenne » bref du grand n’importe quoi.
14h18 :les recos les pneus sont chaud, nous venons de faire la dizaine de borne qui nous séparer de la première spéciale , la même que l’an dernier amputé d’une première partie pourtant sympathique , du coup elle fait 2.5 km avec une première partie très très rapide exposé au caprice du soleil et donc avec du goudron qui a du avoir mainte fois l’occasion de noyer le gravier de surface donc méfiance. La seconde partie pénètre dans les sous bois avec des virolos que si tu veux garder un œil sur les points de sortie de virage, mieux vaut être équipé avec une tête de chouette
14h19 :dur dur il commence à faire chaud dans mon corps, une goutte perle sur mon front je viens d’avaler 2.5 km à rythme soutenue . encore deux ou trois est l’affaire sera entendue et mieux vaut s’épuiser en reconnaissant la spéciale que je ne connaît pas. Au fait, toto mets déjà le genoux n’importe ou et kick exprime un certain talent à économiser son pneu avant, font chier !
15h20 :vindiou la deuxième spéciale à quelque chose de …ha , comment dire…. Impressionnant mais bien, trop trop belle en fait. 4.8km de sinueux, des enchaînements, du lent et du rapide pour moi se sera du 150/160 maxi sur sec avec talus rocheux à gauche et précipice à droite agrémenté de sapin et fougère en tout genre. Alors que mon gras fait moins le malin, une couille fait la branleuse (toujours la même), mais quelle attende un peu !
16h14 :pris la main dans le panier pour la première fois de ma vie, un side vide me tend les bras, le pilote étant venu faire des recos sans son singe. (vieil adages : un side cariste sachant faire du side sans son singe est un bon side cariste) Description du side : 1000GSXR attelé par DJ. Moi, étant timide, je préviens le gars que je fait juste un poids mort et qu’il est hors de question que je bouge dans son panier. Donc départ, ça pousse fort , tu penses, ils ont mis tout les chevaux là, ça glisse, ça bouge plus vite que la soucoupe du petit manége ::QUE DU BONHEUR !!! faut juste que j’arrive à me détendre un peu parce que la j’suis tendu comme une trique et ça commence à faire mal au muscle , arrivé en haut je souffle pensant à une descente tranquille et coulé, tu penses, d’la balle oui . demi tour sur place est gaz en grand, c’est un grand malade, tous de toutes façon, tous des malades !! y’a pas moyen avec ces mec la , c’est comme nous, dés qu’on a un passager, faut qu’on en rajoute ! sympathique le tour quand même , merci Mr Faustino.
17h30 :il fait soif pour casser le rythme et évité de détruire les pneu de manière fanfaronnesque nous décidons de boire UNE bière chez les maigres qui tiennent Le troquet de Blacé. Oui mais voilà, une bière en appelant une autre, nous somme confronté à un choix cornélien, les recos du soir sont remises en causes si on continu de boire !! Qu’a cela ne tienne il fait trop chaud !
20h00 :hipss c’est parti pour une véritable beuverie. Alors qu’un cassoulet mijote dans sa gamelle, la 7éme compagnie échafaude moult stratégies de course pour finalement se mettre d’accord sur une : gazzzzzzzzzz. La tablé est fantastique, elle est en forme cependant le Ricard étant fini, nous découvrons tous avec stupeur (courte la stupeur) qu’il existe également un blanc pétillant beaujolais et franchement c’est pratique de loger chez un vigneron rond.
23h00 :festival chaque moto club présent payent son carton de roteuse. Alors qu’un cassoulet mijote dans mes intestins, la tablée s’est enrichie de la présence de Sergei et de marc Troussard alors que nous avions déjà du top 15 à gogo comme françois bos, pascal Léger (va falloir qu’on m’explique sont nom d’ailleur),Nick Ayrton, Kick, TOTO, Tony Chéreau. Donc , c’est pas le tout mais faut se tenir malgré un taux de sang réduit dans l’alcool qui coule dans mes veines.
01h00 :ta gueuleuuuuuu trop long à raconter, des souvenirs vague mais bien présent, du brouillard dans la pièce et du brouhaha dans les oreilles mais que de rire, et puis d’abord , y’a des choses qui ne se raconte pas mais qui se vivent sinon que nous resterait il à nous. Quelle ambiance ! Sergeï lance le premier soupir anale, quand on vous dit qu’il est rapide même dans le transit …
02h00 :Buloooooooot Ah, j'vous avais bien dit !alors que les cadavres s’empilent dans l’arrière cuisine, les premières victimes de tant d’excès partent une à une se coucher. C’est alors que j’échoue au pied du podium à 4heures du mat. Reste en plan Fast Mitch le gamin qui surveille son appareil photo empreinté par François Bos envahie par le génie de la créativité, (enfin photographier le plafond n’a rien de terrible en fait) et pascal Léger vendredi 6 mai
07h30 :rien si, juste un Doliprane, un café, une vision d’horreur dans la salle des fêtes, … me recouche, j’suis pas encore prêt
10h00 :toc toc le rallye , c’est pas pour les amateurs, c’est de la compet de haut niveau. Faut avoir des point fort , très fort et de la récup plus que de reco. Putain j’ai beau être matinal, j’ai mal. Sinon mes fesses n’ont rien et après ce genre de soirée il n’y a rien de pire que d’avoir mal au cul. Bref le bâtiment reprend vie. Tout le monde prend conscience que la course c’est demain matin, donc au boulot !!
15h30 : au boulot le petit déj se termine après quelques interruptions d’ordre organique du genre de l’intervention de Tony Chéreau qui se trouve puni de m’avoir traiter de gueule de chatte , en effet il est au plus mal et vomi sa bille, c’est ballot. Une reco du routier est cependant nécessaire car le rallye du beaujolais est aussi réputé pour son parcourt difficile.
18H00 :fin des recos le routier est splendide, pour peu que la pluie s’emmêle et l’objectif deviendra celui de ne pas prendre de pénalité pour bien finir. Une fois de plus , les recos de nuit sont remises en question à cause de la fatigue et mieux vaux se reposer. Pascal Léger ayant perdu son transpondeur dans la journée déclare forfait avant le départ. Nick ne voyant pas ses douleurs au pied se calmer rend la main également . se constitue ainsi une petite équipe pour faire la fête, mais se soir, ce sera vraiment sans nous
23h00 :demain j’ai compet le fourgon est en place dans le paddock, les bidons sont plein d’essence (car nous avons pus en emprunter suite au désistement de certain hum hum hum) Suite au retour vers le dortoir à pied, au travers des vignes dans le noir de la nuit (hooooo), la fatigue me gagne ! la nuit est calme et mes songes aussi
samedi 7 mai 6h30 :cocoricoooo c’est au chant du coq que le staf s’active pour se laver, déjeuner, se brosser les dents, se coiffer, s’habiller, se coiffer, boire un café, se coiffer,… non non, nous ne sommes pas nerveux, c’est juste que c’est jour de COMPET. Les moto trépignent d’impatience, Villefrance, nous voilà
9h00 :l’attente le cirque , une file d’attente de fpiouu au moins tout ça, faut dire qu’on est vachement discipliné et que nous respectons tous notre heures de présentation !!! bref la moto rentre au parc fermé suite à un petit contrôle technique d’admission phare, clignotant etc. , etc. ..fait connaissance avec Nils qui en profite pour m’en faire une petite, au ras du sol même, enfin on se comprend !!! reste alors deux heures à s’occuper avant le départ. En fait , on passe beaucoup de temps à attendre. Mais c’est bon, ça fait monter la pression et ça laisse le temps d’évacuer plusieurs caca de la peur (descriptif :petit et mou) Au fait, je ne vous ai pas raconter le truc con du matin, en voulant mettre une visière neuve, je pète une pièce latéral du casque et la visière, dans un mouvement d’extension comme pour se libérer, est partie s’échouer sur le sol provoquant par la même occasion quelques rayures qui, vous vous en doutez, ne m’énerveront pas du tout du tout pour une visière neuve (j’ai même eu une pensée pour le défunt Méoni et pour ses coup de sang) bref du coup, j’ai eSSaillé le 1000R1 de Nick pour faire le tour des concess pour r1en d’ailleurs puisque plus personne ne fait de FM sur Villefranche. (elle est sacrément chaude ta moto Nick, se fut un plaisir, merci).
12h58 :le départ suite à une présentation succincte du paillote, me voilà enfin sur les routes du beaujolais. Vroummmmmm, vroummmm, je me libère les poumons et ne boude pas mon plaisir d’en faire parti mais faut quand même assurer un minimum pour arriver en temps et en heure au premier départ de spéciale. P’tain , je bande !!
13h30 :rel’attente problème, tout le monde est là. Un problème de chronométrage qu’ils disent. J’t’en foutrer des problèmes au cul moi. Faut bien se mettre dans le contexte, les chronométreurs sont des spécialistes et payés par l’organisation. Se sont les seuls envers lesquels nous avons donc quelques exigences et il faut dire qu’il n’assure pas plus que d’autres. Ils ont même pas une petite procédure dans le sac pour envisager un plan de secours. Que de l’improvisation. « teint , ça marche pas, on va mettre des cellules » alors Dédé, monte dont la haut pour synchroniser les bestioles.
1h30 de perdu et la deuxième boucles de jours par la même occasion, à en faire un rallye pour touriste d’abord ! heureusement qu’on est pas à cour de ressources pour se détendre et s’amuser, au moins on fait connaissance avec les nouveaux .
15h…. :départ les pneus froid, je m’élance pour la spéciale le couteau entre les dents, premier virage sans couper, j’ai vue les bons partir tout à l’heure, ils mettaient le genoux d’entré de jeu, mais putain , comment font ils ?(je m’aperçois à cette instant que j’utilise parfois un langage imagé, veillez m’en excuser et vous pris de ne pas en prendre notes mais ces fumiers vont vraiment très vite)tout se passe bien mais j’ai encore de gros effort à faire sur les phases de freinage que je décompose un peu trop et sur les grandes courbes rapides qui me font rendre la main plus que de raison. Des grosses couilles, nom de dieu, il me faut des grosses couilles ! (houps pardon )
16h… :une boucle après dix minutes d’assistance à Blacé pour faire le plein et essuyer le front, je repars donc pour finir la seule boucle de jour avec deux autres spéciale. Le rythme s’installe et la course commence à prendre forme. Je chambre au passage tout ceux qui ont le malheur de me croiser comme Nanuk qui roulait plus vite avec sa vieille Guzzi qu’avec sa grand canyon.(le pauvre) et pour copain Toto , tout se passe bien il est dans la minute devant moi et me met une dizaine de seconde dans la gueule à chaque spéciale, c’est un bon mon Toto. Il va chercher kick qui lui étant 11éme au championnat de France part dans les quinze premiers.
17h30 : fin de l’acte l’épreuve de jour se termine quand même dans la joie malgré le hum hum des chronométreurs . la moto retourne en parc fermé pour attendre l’épreuve de nuit. Ça nous laisse le temps de se mettre bien. Les premier bilan commence à tomber ainsi que Fabrice Porcher qui se nique un doigt en tombant dans le routier, Gilles Planchon se quadruple fracture le bras, et j’en passe …les bras cassés de l’ASMACO commence à attaquer fort sur le Ricard. Il sont chaud bouillant …
21h30 : remise en scéne c’est le show à Blacé pour le départ des concurrents sur la boucle de nuit, tu m’étonnes, faire ça juste devant une terrasse de café. Mais bien vite le froid nous rappel à l’ordre dés que nous nous éloignons des derniers réverbères du village. On entame la partie la plus dure, celle qui te fais parfois te demander ce que tu fous dans un bordel pareil. C’est beau la nuit. Je bande à nouveau comme quoi ,c’est simple le bonheur !!
22h00 : la débâcle une scène digne de l’arche de Noé. Une pluie par endroit torrentielle fait sont apparition rendant pour certain la route invisible. Beaucoup de casse, de retard et de perdu. Seul 89 concurrent à l’arrivé sur 118 au départ . je ne débande plus tellement c’est dur ! A part ça les spéciales sur le mouillé c’est spécial. J’ai faillit me sortir d’une force mais alors d’une force. Mon slip à rendu l’âme et j’ai crié dedans mon casque une fois l’action que voici terminé : phase de freinage ratée à cause des fameuses plaques de goudron fondu que sur le mouillé, tu perds l’avant, tu perds l’arrière alors forcément, t’arrêtes de freiner oui mais voilà le virage lui est toujours la , il t ‘attend en ricanant un « vas y, vient par la, allez vient » et toi t’arrives bien trop vite pour être bien propre, donc tu te le fait genre ouille ouille ouille le virage, tu le prends tu sais même pas comment, tellement t’as fermé les yeux en voyant les arbres arriver. Dix centimètres , pas plus, ont du me séparer du gravier à l’extérieur de ce virage à droite , putain j’ai encore mon pied droit qui fait des effort en y repensant.
Dimanche 8 mai 1h30 :le miraculé nous ne dirons plus « vas à lourdes » mais « vas chez Frédéric Martin » cet espèce de champion de France topsport c’est mis en tête que ça passait à fond. Ben NON, ça passe pas. Entamé une glissouille à 180. ça doigt te ramasser les extrémités graves. Sain et sauf le gars parce que la moto elle crie encore mais bon il a tout raconté sur le forum de Motostation.com, je vous y invite, si si allez y de ma part !
3h30 :finish je rend la main sur les deux dernières spéciales. Quoique, au départ de l’avant dernière, j’essaie de partir le couteau entre les dents. Dix mètres plus loin, une grosse virgule me fait perdre le couteau dans le casque. Je ne l’ai jamais retrouvé. Poum poum poum . retour au parc fermé sans prendre de pénalité je m’embrasse le poigné et m’autocongratule car l’objectif principal est atteint : me suis fait beaucoup de plaisir !je dirais même plus, j’ai la nouille rassasiée.
4h00 :à la soupe on se retrouve à la table de Thierry Eisen et Yves Constantin pour une soupe à l’oignon, mais c’est pas des drôles. Bilan , j’en lâche une grosse et me péte un boyaux, sans dec. les gars faut arrêter la déconne ! puis arriva Richelmi un brin déconneur celui la, dommage qui roule vite ! ai croisé Grégory Debize également et j’en ai profité pour lui demander comment il faisait lui pour péter des chronos sous une pluie battante, réponse :quand tu vois pas devant, tu regardes sur les cotés les repères que tu as genre borne, arbre…(il doit avoir un slip blindé ce gars la) Le TEAM DU CNPM (la police) s’installe dans la pièce d’à coté, ils ne sont pas en reste non plus, mais quand même, ils manquent un peu Richard et Florent, ils étaient sympa.
10h00 :la coupe comme à chaque fin de rallye, s’opére une coupure et je ne sais jamais à quelle heure j’me suis couché ni dans quel état. Autre chose aussi, il y a la remise des coupes et celle la vaut son pesant de cacahuète avec l’intronisation de tous les premiers dans une secte régionale très lié au pied de vigne. Encore un truc à vivre ! sinon pour moi c’est encore choux blanc puisque je ne marque même pas de point dans ma catégorie en étant 17éme de jour et 16éme de nuit en catégorie top sport (les points sont pour les quinzes premiers de chaque catégorie). M’en fout mon plaisir est ailleurs. On plis les gaules , et on part non sans avoir traiter Yves et Thierry d’homo se qui aura comme action immédiate de recevoir en pleine tête un pichet d’eau . pour sur on se vengera. L’après midi Le retour Le retour en fourgon est dés plus plaisant, on parle beaucoup de tout et de rien, en fait on range nos souvenir dans les petites cases vides de nos cerveaux. Cependant il faut l’avouer les cruic cruic du cardan, c’était quatre boulon de la roue qui voulaient se barrer, heureusement le cinquiéme, qui doigt être le capitaine, n’a pas lacher. Merci boulon. Y’a aussi charlie qui à reparlé dans le poste : « bravo ,les filles, mission accomplie, rendez vous donc dans le Morvan le 28 mai pour une nouvelle mission, kick, tes fesses sont splendides » NDJ
|
|